Skip to main content

Comment créer de la confiance avant un entretien d'embauche, la muse

Entretien en direct de François Asselineau sur Facebook - Mercredi 25 janvier 2017 (Avril 2025)

Entretien en direct de François Asselineau sur Facebook - Mercredi 25 janvier 2017 (Avril 2025)
Anonim

S'engager dans une grande entrevue peut être terrifiant, assez semblable au sentiment que j'imaginerais si vous étiez sur le point de sauter d'un avion pour la première fois de votre vie.

Bien sûr, il y a peu de risque de décès réel (à moins, bien sûr, que vous ne postuliez de façon improbable à un poste d'entraîneur principal à l'école de dressage du lion), mais le scénario est néanmoins générateur d'anxiété.

Invoquez votre confiance en vous et suscitez votre courage de cinq manières simples.

1. Arrêtez la narration

La principale tâche de votre cerveau est de minimiser le danger et d'optimiser les récompenses. Ainsi, dans une situation où le résultat est inconnu - en particulier dans une situation où vous risquez de perdre la tête -, votre esprit va commencer à vous raconter des histoires conçues pour vous protéger, des histoires qui vous aideront de sentir le béguin.

Votre cerveau tournera toujours des histoires quand il ne sait pas ce qui va se passer. Il est donc essentiel de reconnaître ce que votre esprit trop analytique fait en créant ces œuvres de fiction.

Observez les inquiétudes remplies de peur et laissez-vous considérer leur hilarité pendant un moment, puis revenez à la réalité. C'est la seule façon de créer la confiance dont vous avez besoin pour une interview à la maison.

2. Retour à votre meilleur

Être à son meilleur, c'est être au sommet de sa forme, à l'endroit où vous êtes animé, fluide et vraiment vivant. Lorsque vous êtes à cet endroit, deux choses se passent. Tout d'abord, vous utilisez simplement tout ce que vous avez dans le moment (toutes ces compétences, toute cette expérience, toutes vos compétences, tous vos talents, toutes vos forces et tout votre instinct) et, deuxièmement, vous ne laissez pas l’anxiété gêne votre confiance.

Dans une interview, ces deux éléments se combinent pour vous donner le sentiment que tout va bien. que tu vas bien. Il est assis sur sa chaise et se sent entier et débrouillard plutôt qu'incomplet et à bout.

Pour obtenir cette sensation, essayez cet exercice: asseyez-vous et fermez les yeux, et plongez dans la sensation de ce que vous ressentez lorsque vous tirez à fond. Vérifiez où se trouve ce sentiment dans votre corps, peut-être dans votre estomac, votre poitrine ou le bout de vos doigts. Imaginez que cet endroit dans votre corps soit la source de cette énergie, de ce flux, de ce pouvoir, de cette aisance. Ensuite, lorsque vous en aurez besoin, concentrez-vous simplement sur cet endroit dans votre corps et vous retournerez à votre meilleur niveau.

3. respirer

Les nerfs anxieux sont une réponse physiologique au risque, une réaction qui fait battre votre cœur, la transpiration de vos paumes et des pensées qui tournent. Vous êtes un peu foutu pendant que cette réponse vous met à la portée de la main. Il est donc heureux que vous disposiez d'un stabilisateur intégré - une manière d'ancrer votre expérience dans quelque chose de plus stable et plus stimulant: votre souffle.

Si, avant l’interview, vous commencez à ressentir l’anxiété, glissez doucement votre attention sur votre souffle. Faites attention à ce qu'il entre et sort de votre corps. Gardez votre attention sur le souffle, en notant les sensations dans votre corps lorsque vous expirez, et même la pause momentanée entre le souffle et le souffle.

Interrompre le scénario écrit par l'anxiété et se concentrer sur la respiration réactive votre cortex pré-frontal, la partie de votre cerveau qui vous permet de penser délibérément, d'exprimer votre personnalité et de prendre des décisions.

Vivre pleinement votre cycle de respiration est une façon de vous ramener dans un lieu d'acceptation où vit la confiance.

4. Normaliser le rejet

Au fur et à mesure des expériences, le rejet est assez insipide. Être licencié en tant que candidat à un emploi vous amène à vous demander si vous êtes vraiment aussi bon que vous le pensez parfois. Vous commencez à vous demander si vous avez fait quelque chose de mal ou s'il y a quelque chose en vous que le responsable du recrutement n'a pas aimé. Le lavage chaud de la honte vous fait sentir petit et insignifiant. C'est un sentiment très faible et pas bon pour votre estime de soi.

Le rejet ne doit pas forcément être une grande chose effrayante. Si on ne vous demande pas de revenir pour une deuxième interview, ce n'est pas la fin du monde. Cela ne signifie pas que vous n'êtes pas assez bon.

Si vous arrivez au troisième tour, mais que finalement vous n'obtenez pas d'offre, tout va bien. Vous allez rebondir. Essayez de ne pas y voir un jugement catégorique contre vous personnellement, mais simplement un signe que ce n'était pas le travail qui vous convient pour le moment.

Essayez de ne pas laisser la rebuffade professionnelle diminuer votre valeur.

5. Humaniser le processus

Il est facile d'entrer dans la réunion en pensant que l'intervieweur n'est là que pour vous juger. Parfois, vous pourriez même les qualifier de «Big Bad» - une force adverse qui veut vous faire commettre une erreur ou dire la mauvaise chose.

La réalité, bien sûr, est que vous ayez été invité car votre CV et votre lettre de motivation ont attiré l’attention du responsable du recrutement. On vous a demandé de venir parce que quelqu'un de l'entreprise veut faire votre connaissance. Le responsable du recrutement souhaite en savoir plus sur les expériences qu’il a lues sur papier et je vous promets que personne ne cherche à savoir à quel point vous pouvez trembler avec ces chaussures.

Croyez-le ou non, ils sont de votre côté. Ils veulent voir qui vous êtes et ce que vous pouvez faire, et dans quelle mesure vous allez vous intégrer à l'équipe et à la culture. Leur but est d’offrir le travail à un être humain décent qui peut ajouter de la valeur, alors considérez-le comme un allié qui veut que vous décrochiez le travail plutôt qu’un ennemi qui veut vous voir trébucher.

En prenant l'habitude d'invoquer la confiance avec ces cinq astuces, vous deviendrez un intervieweur plus fort et plus articulé. Au lieu de craindre l'inévitable entretien d'embauche, vous l'attendez avec impatience, sachant que vous avez les compétences nécessaires pour réussir à la fois mentalement et physiquement.