Au fil des ans, chez The Muse, nous avons inventé pas mal de bidouilles pour nous assurer que les éléments les moins amusants de notre liste de tâches à faire sont terminés. Blocage du temps sur nos calendriers pour les taxes, le gymnase et les notes de frais. Se motiver avec des friandises à la fin d'une tâche. Déléguer nos tâches les moins préférées à quelqu'un qui pourrait en profiter, ou échanger des tâches particulièrement poilues avec un collègue ayant le même stress.
Et pour la plupart, une de ces approches fonctionne généralement.
Mais alors, il y a ces tâches. Tu sais ce que je veux dire. Ceux que vous avez retardés, oh, plus longtemps que vous voudriez que votre patron le sache. Ou ceux qui ont une échéance difficile, mais que vous redoutez tellement que vous ne pouvez tout simplement pas vous décider à commencer. Ceux qui suffisent presque à vous faire simuler un terrible accident et «doivent rester à l'hôpital pendant un certain temps».
Pour ceux-là, il est temps de sortir les gros canons. Eh bien, pas exactement les gros canons. Plutôt comme un ami utile (bien que parfois agaçant).
Voici ce que vous faites: Choisissez un ami proche ou un collègue, idéalement un homme qui n'est pas connu pour vous laisser échapper facilement. Ouvrez un email, copiez et collez ce message:
Héy,
Cela semble un peu bête, mais cela a fonctionné pour moi à chaque fois. Pourquoi? Il combine de nombreuses approches communes ci-dessus: vous vous fixez une date butoir, vous programmez du temps dans votre calendrier pour le faire et vous créez un système de récompense (ou plutôt un système de punition). Mais au lieu de garder tout cela dans votre tête (ce qui, si vous êtes comme moi, a tendance à justifier de «remettre à demain»), vous vous engagez à rendre des comptes à quelqu'un d'autre.
La bonne nouvelle? Je n'ai jamais eu recours à un ami qui me criait dessus ou me fouettait. En fait, d’une manière ou d’une autre, la tâche est toujours accomplie bien avant que je pense que je le ferai. C'est juste une question d'allumer ce feu sous mon tu-sais-quoi faire bouger les choses.